
Accès à la route
Une autre condition de la division est l'accès des parcelles séparées à la voie publique.
Le partage du bien immobilier est inacceptable si les parcelles à séparer n'ont pas accès à une voie publique.
Cependant, il n'est pas nécessaire qu'il s'agisse d'un accès direct à une voie publique - cela est également considéré comme la séparation d'une route intérieure ainsi que la création de servitudes appropriées pour des parcelles de terrain séparées.
Une telle servitude est appelée route nécessaire, elle permet le libre passage et le libre passage et est inscrite dans les registres foncier et hypothécaire des deux propriétés.
Partage du bien immobilier
Si le bien immobilier fait l'objet d'une copropriété ou d'un usufruit perpétuel, le partage peut être effectué à la demande de tous les copropriétaires.
- Avant la construction. Dans la situation décrite, il est impossible de diviser la parcelle avant la construction d'une maison jumelée, car elle est contraire au plan d'aménagement du territoire local.
- Après la construction. La situation est plus favorable après la construction de la maison. Dans les conditions prévues par la loi, la division immobilière peut avoir lieu indépendamment des dispositions du plan d'aménagement local. Ceci s'applique à la suppression de la copropriété de biens immobiliers développés avec au moins deux bâtiments, érigés sur la base d'un permis de construire, si la division doit consister en la séparation des bâtiments pour les copropriétaires individuels indiquée dans la demande conjointe avec les parcelles nécessaires à leur bonne utilisation.
Une telle situation se produit dans la situation décrite par le lecteur, puisque deux bâtiments jumelés seront construits sur la parcelle indiquée. À la lumière du droit de la construction actuellement contraignant, un immeuble d'habitation unifamiliale est un immeuble individuel ou un immeuble jumelé ou mitoyen, servant à satisfaire les besoins de logement, constituant une unité structurellement indépendante, dans laquelle il est permis de séparer au maximum deux locaux d'habitation ou un local résidentiel et commercial avec superficie totale ne dépassant pas 30% de la superficie totale du bâtiment.
Selon la jurisprudence constante de la Cour suprême, le bâtiment et le terrain peuvent être divisés verticalement; il est important que le mur de division traverse tous les étages et soit sur la même ligne que la division de parcelle.
Abolition de la copropriété
Après la construction de la maison par les sœurs, vous pouvez abolir la copropriété conformément (sur la base d'un accord conclu devant un notaire) ou - en cas de conflit - demander en justice la suppression de la copropriété par division.
Si la copropriété du projet est abolie, le partage est souvent opéré par les copropriétaires eux-mêmes. En ce qui concerne l'immobilier, cependant, il sera nécessaire de faire appel aux services d'un géodésiste qui préparera un projet de découpage (déterminer les limites des parcelles après le découpage, dresser des cartes et décrire le bien).
Ce projet doit ensuite être soumis au bureau communal local. Le partage immobilier se fait sur la base de la décision du chef de la commune, du maire ou du président de la ville approuvant le projet de division.
Il devrait être établi sur une carte à jour, adoptée pour la ressource géodésique et cartographique nationale. Un tel projet approuvé constituera la base d'une convention notariale supprimant la copropriété. Après sa signature, des modifications seront apportées aux registres fonciers et hypothécaires.
En cas de conflit entre les copropriétaires, l'article 211 du Code civil donne aux copropriétaires le droit d'exiger que l'abolition de la copropriété passe par le partage de la chose commune, à moins que cela ne soit contraire aux dispositions de la loi ou à la finalité socio-économique de la chose, ou entraînerait un changement significatif ou une réduction significative ses valeurs.
En cas de dissolution judiciaire de la copropriété, le tribunal décide du partage et de son déroulement et des éventuels paiements supplémentaires entre les propriétaires. Lors de la détermination des majorations, le tribunal précisera la date et le mode de leur paiement (paiement direct entre les mains de la personne autorisée ou paiement sur le compte); il est possible de les diviser en tranches, pour une période ne dépassant pas 10 ans.
Une décision de justice juridiquement valable servira également de base pour introduire des changements dans les registres foncier et hypothécaire et permettra à chacun des propriétaires de décider librement et de disposer de sa propre maison.